Sensation

 

Il n’est pas d’importance à ce que les autres disent

A partir du moment où tu as confiance en moi

Tant de haine dans le cœur de ceux qui nous méprisent

Ne tarit pas l’amour, la source que j’ai pour toi

 

Une semaine loin de toi me semble tout un siècle

Je meurs chaque seconde de n’être dans tes bras

Mon cœur saigne de savoir que notre amour espiègle

Grandit mais ne s’arrête qu’aux limites de nos droits

 

Il me semble pourtant entrevoir la lumière

L’espoir que nos deux corps expriment la même joie

Partager avec toi ces désirs solitaires

Qui lentement sûrement de jour en jour s’accroîent

 

 

Précédent    Poème precedent     Premiere page    Poème suivant   Suivant