Le virage Tous les mots de la terre ne pourront
remplacer La souffrance des moments que tu ne
peux trahir Tes enfants je le sais sont tes
premières pensées Mais je ne peux souffrir tant de haine
à rugir Tu ne pourras comprendre ce que mon
cœur ressent Qu’au jour où tu liras dans mes yeux
la souffrance Autant que je peux voir les larmes de
ton sang Couler le long des jours de ton
indifférence Si je ne peux t’aider à ce jour dans
ta peine Il te faudra savoir que je me perds
aussi Ni les cris ni les mots, ni le poids
de tes chaînes Ne sont une solution aux douleurs de
nos vies Si tu ouvrais ton cœur au lieu de le
fermer Tu ne souffrirais pas de tes propres
rancœurs Tu n’as jamais été le sentiment
dernier Qu’il m’a fallu chérir dans mes
propres malheurs Persister à penser que tu n’existes
pas Refuser de comprendre mes sentiments
blessés Ne serait que détruire et ne mettre en
coma Tes sentiments cachés de douleurs
refoulées
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