Clochard ou Abruti Cruelle est vérité lorsqu’on est
indécis La dure réalité de vivre le pouvoir de
gagner Moralité oblige l’Hermite n’est pas
une vie C’est tellement doux d’écrire les
feuilles de nos pensées Aligner sans parler les mots d’or et
d’amour De sa plume les écrire et les faire
chanter Pouvoir changer la vie avec un cœur si
lourd Que parfois certain jour il est lourd
à porter Les poètes se meurent d’avoir trop
oublier Que la vie est sévère que l’amour est
coupant Il s’en vont simplement, de blessures
sont usés Marqués par la douleur des supplices
du temps A jamais de leur vie ils ne seront
connus Ce n’est qu’après leur mort que l’on
daigne regarder Ces quelques mots hachés et de fil
cousus Pour enfin dans l’abstrait un jour les
apprécier Il est dur de porter un si lourd
fardeau Mais il est doux sentir la tendresse
de vie Afin de se souvenir qu’il reste encore
des mots Pour blanchir nos pensées et nos cœurs
meurtris
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