Seul Seul,
je reste seul dans mon angoisse Au
milieu de mes peurs, sans force ni courage Ne
sachant plus que faire, solitaire sans paroisse A
petit feu mourrant, sans n’en laisser de trace Que
le sang qui jaillit de mon esprit tourment Salissant
mon aura de tristes et noires pensées Eclaboussant
mon corps, ne me laissant de temps Que
pour souffrir de mots qui ne sont vérité Vérité
d’un mal être à ce jour inconnu Que
seul la raison exige à ne connaître Ne
laissant suggestion et sur malentendu Réchauffant
le plaisir bien caché sous son être Ou
ne pas être ailleurs l’esprit controversé S’arrachant
du sommeil me dire que c’est la fin Et
que le corps ne sait l’exigence du passé Mais
que ce jour dernier n’est pas encore demain
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