Chiller Heureux
ceux qui ont un cœur de pierre Qui
ne ressentent rien des douleurs de la vie Les
émotions enfouies au fond de leur tanière Et
que froideur est plat de leur philosophie Sous
des allures aux justes printanières Savourer
le désir de n’être sans soucis Sentiments
balayés pareils à la poussière Le
regard dur, glacial en simple léthargie N
e ressentir l’amour qu’au travers de manière Ne
goûter aux plaisirs que par monotonie Marcher
d’un pas joyeux aux allées des cimetières Comparer
les sorties à de simples orgies Que
la haine et l’horreur n’aient aucune frontière Que
l’amour et passion en soient une maladie Et
que le soir venu en fermant les paupières Le
rêve n’existe pas et qu’il en soit défi
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